13 février 2022 – Dimanche de la Septuagésime
Chants du commun :
- Asperges me
- Kyriale XI (sans gloria)
- Credo I
Chants du propre :
- Introït :
- Graduel :
- Trait :
- Offertoire :
- Communion :
Cantiques et Polyphonies :
- Entrée
- Offertoire :
- Media Vita (E6)
- Consécration :
- O Salutaris Hostia (Dugué-Witt)
- Communion :
- Sortie :
- Ave Regina Caelorum (I4)
- Ô Croix dressée sur le monde (E6)
Dimanche de la Septuagésime
Lecture de l’épître du Bienheureux Apôtre Paul aux Corinthiens (1 Co 9,24-27 ; 10,1-5)
Mes Frères : Ne le savez-vous pas ? Dans les courses du stade, tous courent, mais un seul emporte le prix. Courez de même, afin de le remporter. Quiconque veut lutter, s’abstient de tout : eux pour une couronne périssable ; nous, pour une impérissable. Pour moi, je cours de même, non comme à l’aventure ; je frappe, non pas comme battant l’air. Mais je traite durement mon corps et je le tiens en servitude, de peur qu’après avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même réprouvé. Car je ne veux pas vous laisser ignorer, frères, que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils ont tous traversé la mer, et qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer ; qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les accompagnait, et ce rocher était le Christ. Cependant ce n’est pas dans la plupart d’entre eux que Dieu trouva son plaisir.
† Suite du saint Évangile selon saint Matthieu (Mt 20,1-16)
En ce temps là, Jésus dit à ces disciples cette parabole : le royaume des cieux est semblable à un maître de maison qui sortit de grand matin afin d’embaucher des ouvriers pour sa vigne. Etant convenu avec les ouvriers d’un denier par jour, il les envoya à sa vigne. Il sortit vers la troisième heure, en vit d’autres qui se tenaient sur la place sans rien faire, et leur dit : « Allez, vous aussi, à ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera juste. » Et ils y allèrent. Il sortit encore vers la sixième et la neuvième heure, et fit la même chose. Etant sorti vers la onzième (heure), il en trouva d’autres qui stationnaient, et il leur dit : « Pourquoi stationnez-vous ici toute la journée sans rien faire ? » Ils lui disent : « C’est que personne ne nous a embauchés. » Il leur dit : « Allez, vous aussi, à la vigne. » Le soir venu, le maître de la vigne dit à son intendant : « Appelle les ouvriers et paie-leur le salaire, en commençant par les derniers jusqu’aux premiers. » Ceux de la onzième heure vinrent et reçurent chacun un denier. Quand vinrent les premiers, ils pensèrent qu’ils recevraient davantage ; mais ils reçurent, eux aussi, chacun un denier. En le recevant, ils murmuraient contre le maître de maison, disant : « Ces derniers n’ont travaillé qu’une heure, et tu les as traités comme nous, qui avons porté le poids du jour et la chaleur. » Mais lui, s’adressant à l’un d’eux, répondit : « Ami, je ne te fais point d’injustice : n’es-tu pas convenu avec moi d’un denier ? Prends ce qui te revient, et va-t’en. Je veux donner à ce dernier autant qu’à toi. Ne m’est-il pas permis de faire en mes affaires ce que je veux ? Ou ton œil sera-t-il mauvais parce que, moi, je suis bon ? Ainsi les derniers seront premiers, et les premiers derniers. »